ODD3 - Donner aux individus les moyens de vivre une vie saine et promouvoir le bien-être à tous les âges

Publié le 7 février 2024


Le troisième objectif vise à assurer la santé et le bien-être de tous, en améliorant la santé procréative, maternelle et infantile, en réduisant les principales maladies transmissibles, non transmissibles, environnementales et mentales.

Ces enjeux sanitaires pourront être réalisés à condition de mettre en place des systèmes de prévention visant la réduction des comportements présentant des risques pour la santé, d’assurer un accès universel à une couverture médicale et aux services de santé, de soutenir la recherche et le développement de vaccins et de médicaments et d’améliorer la gestion des risques sanitaires dans les pays en développement.

ELYX ODD 03
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Figure illustrative de l’ODD 3 "Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être à tout âge"

Présentation

Cibles

Cibles de l’ODD3*
Titre de la cibleDescription de la cible
Mortalité maternelle 3.1 : D’ici à 2030, faire passer le taux mondial de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100 000 naissances vivantes
Mortalité néonatale et infantile 3.2 : D’ici à 2030, éliminer les décès évitables de nouveau-nés et d’enfants de moins de 5 ans, tous les pays devant chercher à ramener la mortalité néonatale à 12 pour 1 000 naissances vivantes au plus et la mortalité des enfants de moins de 5 ans à 25 pour 1 000 naissances vivantes au plus
Maladies transmissibles 3.3 : D’ici à 2030, mettre fin à l’épidémie de sida, à la tuberculose, au paludisme et aux maladies tropicales négligées et combattre l’hépatite, les maladies transmises par l’eau et autres maladies transmissibles
Maladies non transmissibles 3.4 : D’ici à 2030, réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématurée due à des maladies non transmissibles et promouvoir la santé mentale et le bien-être
Conduites addictives 3.5 : Renforcer la prévention et le traitement de l’abus de substances psycho-actives, notamment de stupéfiants et d’alcool
Accidents de la route 3.6 : D’ici à 2020, diminuer de moitié à l’échelle mondiale le nombre de décès et de blessures dus à des accidents de la route
Santé sexuelle et procréative 3.7 : D’ici à 2030, assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, y compris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de la santé procréative dans les stratégies et programmes nationaux
Couverture santé universelle 3.8 : Faire en sorte que chacun bénéficie d’une couverture santé universelle, comprenant une protection contre les risques financiers et donnant accès à des services de santé essentiels de qualité et à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et d’un coût abordable
Santé-environnement 3.9 : D’ici à 2030, réduire nettement le nombre de décès et de maladies dus à des substances chimiques dangereuses et à la pollution et à la contamination de l’air, de l’eau et du sol
Tabac 3.a : Renforcer dans tous les pays, selon qu’il convient, l’application de la Convention-cadre de l’Organisation mondiale de la Santé pour la lutte antitabac
Recherche
Mise au point et accès aux médicaments
3.b : Appuyer la recherche et la mise au point de vaccins et de médicaments contre les maladies, transmissibles ou non, qui touchent principalement les habitants des pays en développement, donner accès, à un coût abordable, à des médicaments et vaccins essentiels, conformément à la Déclaration de Doha sur l’Accord sur les ADPIC et la santé publique, qui réaffirme le droit qu’ont les pays en développement, pour protéger la santé publique et, en particulier, assurer l’accès universel aux médicaments, de recourir pleinement aux dispositions de l’Accord sur les ADPIC qui ménagent une flexibilité à cet effet
Personnel de santé 3.c : Accroître considérablement le budget de la santé et le recrutement, le perfectionnement, la formation et le maintien en poste du personnel de santé dans les pays en développement, notamment dans les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement
Sécurité sanitaire 3.d : Renforcer les moyens dont disposent tous les pays, en particulier les pays en développement, en matière d’alerte rapide, de réduction des risques et de gestion des risques sanitaires nationaux et mondiaux
* : Le système de numérotation des cibles est tel que les cibles concernant les résultats utilisent des chiffres, tandis que les cibles concernant les moyens de mise en œuvre utilisent des lettres minuscules.

Indicateurs de suivi

Les indicateurs de suivi mondial des 17 Objectifs de développement durable ne conviennent pas nécessairement à la situation et enjeux de chaque pays. Des déclinaisons ont été proposée aux échelles européenne et française.


Relations avec les autres ODD

Les 17 objectifs de l’Agenda 2030 sont imbriqués et indissociables. Pour la bonne atteinte d’un ODD, la prise en compte de ses relations avec chacun des 16 autres est essentielle. Chaque ODD est donc directement ou indirectement impacté par les autres.

Sous forme de « rosace », ces animations servent à identifier les connexions ou « interrelations » existantes entre un ODD précis et chacun des 16 autres et mettre en lumière les sujets communs entre objectif. Elles donnent à l’utilisateur des pistes sur la meilleure manière de mettre en œuvre un ODD pour en atteindre un autre.

Maquette des interrelations entre ODD sur la santé - Organisation mondiale de la Santé (OMS)
Agrandir la figure 61 Télécharger (PDF, 2.1 Mo) le document Maquette des interrelations entre ODD sur la santé - Organisation mondiale de la Santé (OMS)

Roue des interrelations de la santé avec les autres ODD
ODD1 : Prioriser les besoins des pauvres en matière de santé
ODD2 : Agir sur les causes et les conséquences de toutes formes de malnutrition
ODD4 : Soutenir l’éducation de qualité pour tous afin d’améliorer la santé et l’équité en santé
ODD5 : Lutter contre les inégalités entre les sexes, notamment la violence à l’égard des femmes
ODD6 : Prévenir les maladies en garantissant un approvisionnement en eau salubre et un assainissement adéquat pour tous
ODD7 : Promouvoir les énergies durables pour un habitat sain et une vie en bonne santé
ODD8 : Promouvoir les emplois sains comme moteur de la croissance économique
ODD9 : Promouvoir les capacités nationales en matière de recherche-développement et la fabrication de produits médicaux essentiels à un coût abordable
ODD10 : Garantir un accès équitable aux services de santé grâce à la couverture sanitaire universelle
ODD11 : Encourager l’amélioration de la santé des villes par l’urbanisation en rendant l’air plus propre et en instaurant des cadres de vie plus sécurisés et plus actifs
ODD12 : Promouvoir la consommation responsable des produits thérapeutiques afin de lutter contre la résistance aux antibiotiques
ODD13 : Protéger la santé face aux risques climatiques, et promouvoir la santé par le développement à faible émission de carbone
ODD14 : Soutenir le rétablissement des stocks halieutiques afin d’améliorer les régimes alimentaires sains, diversifiés et sans risque
ODD 15 : Promouvoir la santé et prévenir les maladies grâce à l’instauration d’environnements à la fois sains et naturels
ODD 16 : Donner aux institutions locales les moyens de mettre en œuvre des interventions ambitieuses au niveau national pour atteindre les ODD, de procéder à leur suivi et d’en assurer la responsabilité
ODD 17 : Mobiliser les partenaires afin de suivre et d’atteindre les ODD liés à la santé
ODD 17 :
Organisation Mondiale de la Santé


Où en est la France ?

Enjeux domestiques

La France œuvre activement pour la santé et promeut la prise en compte de l’impact des politiques sectorielles sur la santé. S’appuyant sur une approche intégrée et centrée sur le patient, elle développe une politique de protection et de promotion de la santé.

La loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé a permis notamment la généralisation du tiers payant aux femmes enceintes et personnes en ALD (affection de longue durée) et seule une faible part de la population française métropolitaine doit encore renoncer aux traitements médicaux pour des raisons financières. Ce dispositif global contribue à atteindre « l’état de complet bien-être physique, mental et social » promu par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), aux côtés des autres organisations formant la Quadripartite (Organisation mondiale de la santé animale, Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, Programme des Nations Unies pour l’Environnement). Il se développe, notamment à travers le plan national santé environnement, pour prendre en compte l’approche « Une Seule Santé » basée sur le constat que la santé des êtres humains, celle des animaux domestiques et sauvages, des plantes et de l’environnement, y compris les écosystèmes est étroitement liée et interdépendante. Il permet également d’anticiper les évolutions sanitaires : les inégalités sociales et territoriales en matière de santé, l’importance des maladies chroniques et le poids des incapacités, la recrudescence du risque d’épidémies infectieuses, ou encore la mortalité prématurée évitable encore trop élevée.

Créée en 1945, la Sécurité sociale est la garantie donnée à chacun qu’en toutes circonstances il disposera des moyens nécessaires pour assurer sa subsistance et celle de sa famille dans des conditions décentes.

Par « moyens nécessaires », il est entendu : l’assurance maladie, la réparation des accidents du travail et des maladies professionnelles, les retraites et les prestations familiales.

Pour l’avenir, la France doit relever deux défis majeurs : l’égalité d’accès aux soins dans les territoires (urbains, périurbains et ruraux) et le vieillissement de la société française dont l’espérance de vie à la naissance atteint en 2019, en France métropolitaine, 85,7 ans pour les femmes et 79,7 ans pour les hommes (Insee). Il s’agit d’anticiper les nouveaux besoins et les nouvelles formes de solidarité intergénérationnelle ainsi que leurs financements. En outre, la France doit amplifier sa politique en faveur des personnes en situation de handicap, à la fois en matière d’accessibilité, de vulnérabilité et d’inclusion dans la société.

Le soutien à l’épanouissement humain par une qualité de vie agréable et saine, et l’amélioration de la qualité de l’environnement (eau, air, sol) est, dans une logique de développement durable, également pris en compte comme levier pour améliorer la santé.

Enfin, la pandémie de COVID-19 a donné lieu à une augmentation de symptômes liés au stress, à l’anxiété et à la dépression, mettant en évidence la nécessité de soins pour la santé mentale des Français. La France s’est engagée en faveur de l’accès aux soins en santé mentale, notamment avec le dispositif MonPsy, entré en vigueur en 2022, qui prévoit un remboursement intégral de séances d’accompagnement psychologique dans le cadre d’un parcours de soins simplifié.

Enjeux internationaux

La France mène une action volontariste en santé internationale.

Par son rôle catalytique sur la croissance économique inclusive et durable, la santé est également un outil du développement humain, économique et social. La France soutient notamment la prévention, la préparation et la riposte aux pandémies, le renforcement des systèmes de santé, l’atteinte d’une couverture santé universelle, la lutte contre VIH/Sida, la tuberculose et le paludisme, le renforcement de l’immunisation et de la production régionale en santé, la promotion des droits et santé sexuels et reproductifs, la lutte contre les mutilations sexuelles, ainsi que le soutien à la santé maternelle, néonatale, infantile et des adolescents.

A titre d’exemple, avec pour objectif de réduire la mortalité maternelle, néonatale et infantile, la France a investi plus de 170 M€ à travers le Fonds Français Muskoka. La France a renouvelé lors du Forum Génération Egalité de 2021 son engagement à ce fonds, pour un soutien annuel de 10 millions d’euros.

Parmi les points essentiels de stratégie en santé mondiale, dont la dernière version a été publiée le 12 octobre 2023 et couvre la période 2023-2027, la France participe à la lutte contre les trois grandes pandémies représentant des menaces pour la santé publique mondiale (VIH/sida, tuberculose et paludisme) et à la conduite des actions permettant de les éradiquer. Elle investit plus de 700M€ par an dans les grands partenariats mondiaux en santé créés pour l’atteinte des objectifs de développement durable, au premier chef en tant que membre du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, d’Unitaid et de Gavi, l’alliance du vaccin, dont elle est respectivement deuxième, principal et cinquième contributeur. Depuis 2023, elle participe à l’effort d’éradication de la poliomyélite.

Portant à haut niveau la mise en œuvre de l’approche « Une seule santé », la France est également activement engagée dans la lutte contre la résistance aux antimicrobiens, qualifiée par l’OMS de « pandémie silencieuse ».

Afin de tirer les leçons de la pandémie de COVID-19, le choix du multilatéralisme a été fait comme moteur de la refonte de l’architecture en santé mondiale. Dans ce cadre, la France participe activement aux négociations en cours visant à améliorer la prévention, la préparation et la réponse aux urgences sanitaires : la révision du Règlement Sanitaire International et la rédaction d’un Accord international sur les pandémies. La France est également impliquée dans la mise en œuvre du Fonds Pandémies, qui finance des actions de prévention des pandémies et de préparation à celles-ci, et au sein des discussions relatives au mécanisme coordonné de riposte aux pandémies appelé à succéder à celui mis en place durant la pandémie de COVID-19 (ACT-A).

Pour construire une réponse coordonnée aux défis de santé publique mondiaux, la France apporte son soutien au rôle essentiel que joue l’Organisation mondiale de la santé. En 2020, elle s’est particulièrement engagée pour la création de l’Académie de l’OMS. Hébergée à Lyon et financée par la France à hauteur de 120 millions d’euros, l’Académie, qui sera inaugurée à l’automne 2024, organisera des formations continues dans le domaine de la santé à destination des personnels de santé dans le monde.

La solidarité internationale en santé de la France repose sur une approche partenariale, en cohérence avec l’ODD17. Elle associe une diversité d’acteurs et d’opérateurs allant de l’Agence française de développement (AFD) à la société civile. Elle reconnaît en particulier le rôle de premier plan joué par les ONG, allant de l’alerte de la communauté internationale, à la prise en charge des patients en passant par la prévention et le suivi.

La France a lancé lors de la COP28 l’initiative Prezode (Preventing zoonotic dideases emergence), en concertation avec plusieurs partenaires européens et multilatéraux, pour prévenir de nouvelles pandémies d’origine zoonotique.

Chiffres clés

  • Entre 1995 et 2021, l’espérance de vie en bonne santé en Europe est passée de 62,4 à 82,9 ans (femmes) et de 60 à 77,2 ans (hommes). (Eurostat, 2023)
  • La satisfaction dans la vie était pour un français moyen de 6,8/10 en 2021. (INSEE)
  • Il existe un écart d’espérance de vie de 18,1 ans entre les pays les plus pauvres et les pays les plus riches. (OMS, 2019)

Actions de la France

Action de l’État

En France

Plusieurs documents-cadres contribuent directement ou de manière plus transversale à l’effectivité de l’ODD3 en France :

La Stratégie nationale de santé sexuelle 2017-2030 tout d’abord, rompt avec l’approche par pathologie et risque, et vise l’amélioration globale de la santé sexuelle et reproductive via une vie sexuelle autonome, satisfaisante et en toute sécurité, avec la capacité de concevoir des enfants et la liberté de décider d’en concevoir ou non.

Le quatrième plan national Santé Environnement (PNSE4) 2021-2025 témoigne de la volonté de réduire l’impact des facteurs environnementaux sur la santé. Il s’articule autour de quatre grandes catégories d’enjeux : la réduction des expositions environnementales affectant la santé humaine et celle des écosystème, l’amélioration de la connaissance des expositions et des effets de l’environnement sur la santé des populations et sur les écosystèmes, la démultiplication des actions concrètes menées par les collectivités sur les territoires, et l’information, la communication et la formation sur l’état de l’environnement et les bons gestes à adopter.

Le Plan national de gestion du risque et d’efficience du système de soins 2018-2019 a pour volonté de garantir à tous les citoyens français des soins de qualité, se conjugue à l’objectif de préserver le système de santé solidaire : assurer l’accès aux soins les plus pertinents, aux traitements les plus innovants, tout en maitrisant les dépenses de santé. Depuis 2019, ce plan est mis en œuvre à l’échelle régionale.

Le Programme national de lutte contre le tabac (2018-2022) vient compléter le Programme national de réduction du tabagisme qui se décline autour de trois axes d’intervention prioritaires : protéger les jeunes et éviter l’entrée dans le tabagisme, aider les fumeurs à arrêter et agir sur l’économie du tabac. Ces actions visent à atteindre en 2032, la première « génération d’adultes sans tabac ».

À l’international

La Stratégie en santé mondiale 2023-2027 propose un cadre de référence des enjeux de santé. Dans un contexte de transformations majeures, notamment climatiques et géopolitiques, cette nouvelle stratégie constitue la feuille de route de l’ensemble des parties prenantes françaises pour relever les défis de santé mondiale dans une approche profondément solidaire et multilatérale. Elle permet de fédérer les énergies autour de cinq grandes priorités :

  • Promouvoir des systèmes de santé équitables, pérennes, résilients, adaptatifs et centrés sur la personne qui permettent à tous et toutes d’avoir accès à des services de santé de qualité, et atteindre ainsi la couverture santé universelle ;
  • Promouvoir la santé et le bien-être des populations, prévenir et lutter contre les maladies à tous les âges de la vie ;
  • Mieux anticiper, prévenir, se préparer et répondre aux urgences de santé publique et aux conséquences du changement climatique, en mettant en œuvre l’approche « Une seule santé » ;
  • Promouvoir une nouvelle architecture mondiale en santé plus solide et solidaire et s’appuyant sur la complémentarité de l’action française bilatérale et multilatérale ;
  • Faire de la recherche et de l’expertise françaises des leviers d’action et d’influence au service de la stratégie en santé mondiale.
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Figure 62

Action des acteurs non-étatiques

En juin 2023, 1197 entreprises étaient engagées en faveur du Nutri-Score en France, soit désormais 62 % des volumes de ventes. Un nouveau bilan relatif à ce dispositif d’étiquetage nutritionnel a été publié en 2023. Début 2024, c’est désormais 1359 marques engagées sur le marché français.

De septembre 2022 à février 2023, la Fonda a animé un cycle d’ateliers pour impulser et structurer une communauté d’action au service de la prévention et de la promotion de la santé à Nanterre. Ces ateliers ont rassemblé l’Agence régionale de santé d’Île-de-France (ARS IDF), la délégation départementale des Hauts-de-Seine (DD 92) de l’ARS IDF, la Ville de Nanterre, la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) de Nanterre et le Centre d’accueil et de soins hospitaliers (CASH) Roger Prévot. A l’issue des travaux, deux livrables ont été produits : le cadre stratégique de la communauté d’action et la boîte à outils de l’axe 2 du projet « Hôpital et territoire promoteurs de santé (HTPS) ».

Le logement « pédagogique environnement santé » est porté depuis fin 2013 sur Poitiers par le GRAINE et l’IREPS Poitou-Charentes. Ce logement fraîchement rénové avec des matériaux peu voire pas polluants seront proposées aux partenaires présents ainsi qu’aux habitants du quartier. Le logement propose des séances animées par les partenaires du projet qui sont l’occasion d’échanger avec les habitants sur les différentes thématiques liées à la protection de l’environnement et de la santé en rapport avec l’habitat.

Action Santé Mondiale/ Global Health Advocates France (GHA) est une ONG française spécialisée dans le plaidoyer sur la santé mondiale et plus particulièrement sur les maladies de la pauvreté. Son objectif est de renforcer le soutien politique et financier sur ces questions auprès des décideurs français et européens.

La Commission Santé et développement de Coordination SUD (plateforme nationale des ONG françaises de solidarité, urgence et développement) partage les mêmes objectifs, en favorisant par ailleurs l’échange d’expériences entre les ONG françaises dédiées au champ de la santé. En son sein, des groupes de travail spécifiques ont été créés sur le financement de la santé et la santé des femmes.

Pour aller plus loin

Consulter les ressources liées à l’ODD3 :

Site notre environnement

Lutter contre le changement climatique et protéger l’atmosphère

Agir pour la santé et le bien-être de toutes et tous

Lutter contre les inégalités et la pauvreté et assurer la solidarité et la cohésion sociale

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